"L'homme tire sa dignité et sa sécurité de son emploi. La femme doit l'une et l'autre au mariage."
Là c'était le machisme des années 70.
A première vue, ça semble dépassé comme pensée: trop archaïque, voire rétrograde.
Mais la vérité c'est que cette idée revient en force. Cette fois, ce sont les femmes qui l'admettent… en secret.
Madame semble déjà lasse. Après un bon bout de chemin, elle est trop fatiguée pour avancer, trop orgueilleuse pour revenir vers Monsieur, son chevalier protecteur. Car elle sait que, les obstacles, c'est lui qui les installe.
La femme est-elle vraiment libérée? Oui, sauf rares exceptions.
Est-elle respectée? Non, sauf rares exceptions.
Pour qu'on ne me prenne pas pour une conservatrice arriérée, je vais exposer mon point de vue sur la question:
Je suis libre, je fais ma vie. Je freine et j'accélère à volonté. Je pose mes propres limites.
[By the way, une des raisons pour lesquelles je suis entrain de bosser dur, bel3arbi nebni fi mostakbli, c'est pour qu'au jour où je serai face à mon atome crochu, je ne serai pas contrainte (par la raison, ou par la famille) à l'évaluer matériellement. D'ailleurs, Allah la t7ottni lih.]
Je ne suis pas respectée. Au bus: on me bouscule. Dans la rue: on me harcèle. Au boulot: el bhim el 9sayer, c'est moi. Komkoi: kif errajel kif elmra.
Non, mouch kifkif. Nous sommes plus FRAGILES.
Je sais que si on pourrait me trouver, je serai lynchée,… Et par les hommes, Et par les femmes.
Là c'était le machisme des années 70.
A première vue, ça semble dépassé comme pensée: trop archaïque, voire rétrograde.
Mais la vérité c'est que cette idée revient en force. Cette fois, ce sont les femmes qui l'admettent… en secret.
Madame semble déjà lasse. Après un bon bout de chemin, elle est trop fatiguée pour avancer, trop orgueilleuse pour revenir vers Monsieur, son chevalier protecteur. Car elle sait que, les obstacles, c'est lui qui les installe.
La femme est-elle vraiment libérée? Oui, sauf rares exceptions.
Est-elle respectée? Non, sauf rares exceptions.
Pour qu'on ne me prenne pas pour une conservatrice arriérée, je vais exposer mon point de vue sur la question:
Je suis libre, je fais ma vie. Je freine et j'accélère à volonté. Je pose mes propres limites.
[By the way, une des raisons pour lesquelles je suis entrain de bosser dur, bel3arbi nebni fi mostakbli, c'est pour qu'au jour où je serai face à mon atome crochu, je ne serai pas contrainte (par la raison, ou par la famille) à l'évaluer matériellement. D'ailleurs, Allah la t7ottni lih.]
Je ne suis pas respectée. Au bus: on me bouscule. Dans la rue: on me harcèle. Au boulot: el bhim el 9sayer, c'est moi. Komkoi: kif errajel kif elmra.
Non, mouch kifkif. Nous sommes plus FRAGILES.
Je sais que si on pourrait me trouver, je serai lynchée,… Et par les hommes, Et par les femmes.

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