Absolument superbe ! Quel merveilleux complément aux photos que tu as déjà diffusées Halouma. Je te réitère mes félicitations.
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Mahdia
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Mahdia est un site touristique des plus prisés, connu pour la beauté du paysage naturel et la richesse du patrimoine historique et culturel (Skifa elkahla, Elborj, la Grande Mosquée, la vieille ville fatimide, les musées traditionnels de Mahdia).
Mahdia est connu pour sa vocation agricole, c’est une région fondamentalement oléicole avec 4.8 millions oliviers, de même la pêche du poisson bleu demeure une activité primordiale dans la région qui fournit plus de 15% de la production nationale.
Les monuments qu’on peut visiter à Mahdia ne sont certes pas très nombreux mais ils sont tous dignes d’un grand intérêt.
Skifa el Kahla
Enorme porte de ville fortifiée, appelée aussi Bab Zouila, la Skifa el Kahla est un véritable fortin. Construite au Xè siècle, elle fut reconstruite en 1544, après le départ des espagnols. Elle isolait la ville sur sa presqu’île. La plus haute des terrasses offre une vue magnifique sur l’ensemble de la ville, du port et de la côte.
Le jour du marché hebdomadaire, le vendredi, elle connaît une grande animation et devient une véritable caverne d’Ali Baba : costumes traditionnels, broderies, soieries, dorures. Le costume traditionnel féminin de Mahdia est l’un des plus beaux et des plus riches de Tunisie.
Vue de l'extérieur
Vue de l'intérieur
La grande Mosquée
Mosquée de Oubeid-Allah-El Mehdi, munie devant son entrée principale d'une placette nommée « Place Kadhi Ennomane » construite par les Fatimides, elle a été reconstruite en 1965 exactement selon le plan ancien. Elle a été transformée, l’espace de deux ou trois ans, en église par les Espagnols, entre 1551 et 1554.
Un porche, d’une belle ordonnance, harmonieusement proportionné, en constitue une entrée qui se distingue par sa sobriété. La mosquée possède deux autres entrées, moins monumentales.
La salle de prière est conçue sur le modèle de la salle de prière de la Grande mosquée de Kairouan : une nef axiale large avec huit vaisseaux latéraux qui le sont moins et une nef transversale de la même largeur que la nef principale. Une coupole coiffe la travée qui précède le mihrab.
Borj El KebirC’est une immense forteresse fondée à la fin du XVIè siècle. Elle fut dotée, au XVIIIè siècle, de bastions d’angles. Elle comprend une cour sur laquelle ouvrent des salles voûtées en berceau et un petit oratoire.
Le Port
Les chalutiers en grand nombre et des barques équipées pour la pêche au lamparo en font leur base. Il connaît une grande animation, en été, à l’époque de la pêche nocturne au poisson bleu : maquereau et surtout sardine.
Un cimetière qui s'étend sur une surface d'environ 7 ha. Il a été exploité depuis l'antiquité et continue jusqu'à présent de remplir son rôle comme lieu d'enterrement des défunts. Il contient aussi deux Marabouts, Sidi hassen et Sidi Jabeur, qui représentent une valeur morale pour les citoyens.
C'est ici que mes grands parents sont entérré!!!!
Le trésor de Mahdia
C’est en 1907 que des pêcheurs d’éponges remarquent, par 39 m de fond, les restes d’un navire antique au large de Mahdia, à quelques kilomètres au Nord-Est de cette ville prestigieuse. Des fouilles sont menées de 1908 à 1913. Le gisement contenait des colonnes, des chapiteaux ; les fouilles ont permis de constater qu’il s’agissait en fait de tout un bateau chargé d’objets d’art pour la construction d’un édifice somptueux… quelle riche cargaison ! Outre les colonnes, des chapiteaux, et de superbes cratères en marbre, on a retiré des chefs d’½uvre en bronze, tels que l’Agar, l’Eros Citharède, l’Hermès de Dionysos, la Naine dansante, la Course du Satire… et des sculptures en marbre, comme ce buste d’Aphrodite d’une beauté tout à fait divine. Ce trésor est exposé au musée du Bardo.
Musée de Mahdia
C’est un petit musée mais il ne manque pas d’intérêt. On y troue quelques mosaïques et des statues. On peut surtout y admirer des vêtements traditionnels et divers tissages.
Une belle station balnéaire
Les plages, à Mahdia et aux environs, notamment au Sud, entre Ksour es Saf et Chebba, sont parmi les plus belles de Tunisie. Les espaces verts sont très soignés. Les lieux pour les activités ludiques ou pour le repos sont nombreux. Ces atouts ont fait de Mahdia une très belle station balnéaire moderne qui compte vingt-et-un hôtels totalisant une capacité d’hébergement de 7 000 lits.
C'est une tres belle ville et la plage la bas est magnifique et d'une propreté incroyable!!!!Comment
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Envoyé par saffiBonjour
tout petit je lui es dit un secret à l'oreille, quelle à gardé 37ans.
Aujourdhui elle me déroule le tapis
Voyant ensemble qu'es quelle à bien pu gardé pendant se temps.
aller sur http://iffssa.skyblog.com/
Mahdia est une ville tunisienne et le chef-lieu du gouvernorat du même nom. La municipalité est créée par un décret du 21 janvier 1887.
A bientôt
et merci bien pour cette visite à Mahdia!!
je l'aime aussi surtout sa plage
C'est formidable les photos et les vues de la plage!!!
tu n'a meme pas oublier de nous montrer le7law de Mahdia et chakchouka!!!
tu sé tres bien que dima hamna fi krouchna!!Comment
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Mahdia la soyeuse ( à tout les amoureux de mahdia )
En 910, El-Mahdi, le sauveur ; repère le site du cap d’Afrique. Les prédictions des astrologues le convainquent d’y fonder sa ville et d’en faire une place forte. Pêcheurs et tisserands perpétuent aujourd’hui des techniques artisanales veilles de mille ans. Mahdia la soyeuse Au bout de la presque île est niché l’ancien port FATIMIDE : « On entrait par une voûte faite dans le mur où l’on enfermait les galères et autres petits vaisseaux » rapporte Marmol de Cavajal, chroniqueur espagnol. La tradition raconte comment les femmes de Mahdia en sacrifiant leurs bijoux, permirent à leur maris de racheter au Siciliens leurs flottes de pêches. Puis un nouveaux port est né, plus loin dans la baie. Aux premiers lueurs du jour, il est livré à la criée des poissonniers et à l’arrivée, par centaines de caisses, des sardines, anchois et maquereaux pêchés en haute mer. A l’intérieur de la veille ville, un labyrinthe de ruelles blanches, quelques impasses pavées, et de rares automobiles dans la grande rue. Un émouvant cimetière recouvre l’extrémité du cap. La grande Mosquée fut reconstruite en 1961 selon le plan de la mosquée FATIMIDE édifiée en 916. Derrière les portes, dans des cours ou dans de petites pièces réservées à cet usage, travaillaient les nombreux artisans de Mahdia. Dans l’axe de la Skifa-El-Kahla, porte monumentale de la veille ville, s’ouvre un petit souk couvert, récemment aménager. La cote est là, jusqu’où vient s’étirer l’ultime portion de cette terre d’Afrique, dévolue à son histoire. Et cette histoire s’est faite près de la mer, sur la mer, tout contre la mer. Elle est ici de plain–pied, léchant les deux baies qui découpe la presque île où est plantée Mahdia, « la citée aux deux croissants ».Obaïd Allah, dit El-Mahdi (le sauveur) avait repérer le cap dés l’an 910. Mais, pour y fonder sa capitale, il attendit que sas astrologues aient lu dans les étoiles la domination totale du lion, symbole de puissance. Vingt ans plus tard, il s’y installait. Une muraille renforcée de fortins l’isolait déjà du continent, avec son palais, sa mosquée et un port intérieur creusé dans la roche. Des citernes et des silos furent aménagés en prévision de siége à venir, et un aqueduc amena l’eau douce de l’intérieur des terres. Ainsi naquit Mahdia, capitale des chi’ites Fatimides, résidence royale et bastion de la foi. Combien furent-ils, trente-huit ans plus tard, à prendre la mer vers l’Egypte, cèdent la cité fortifiée aux Zirides ? Mahdia s’enrichie par le commerce avec l’Egypte et la Sicile. Par les raids de ses corsaires aussi. Les chrétiens s’en emparèrent à deux reprises, au XIIe siècle. Mais toujours, la ville rejetait ses conquérants à la mer, se ressaisissait de plus belle. On la tenait pour « la plus riche cité Berbérie » En 1554, après avoir délogé Dragut, le célèbre corsaire turc qui y entassait ses butins, les espagnoles, la place forte, firent sauter les remparts. Il n’en reste aujourd’hui que l’arche d’une tour, sur le bord méridional du cap. Sa voûte haute et solitaire garantit la paix du cimetière marin qui s’étend à ses pieds, face au soleil levant. Les dalles sont blanches parfois bleues ou vertes. Site émouvant. D’autant plus à la tombée du jour, lorsqu ‘une silhouette s’y profile.Comment
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Tout passe et repasse et ne restent que les Traces, méme les Traces se fassent et ne reste Que la Terre et le Ciel Face à Face.Comment
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~ وَقُلْ رَبِّي ارْحَمْهُمَا كَمَا رَبَّيَانِي صَغِيرًا ~Comment
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J'étais à Mahdia il ya 3 semaines par un pure hasard, en allant à El Jam avec des amis, on s'est retrouvé à Mahdia...Bref , c'était une trés belle ville, des vues magnifiques, ...ce que j'ai adoré le plus c le cimétière, pour une fois j'envie les morts,je crois qu'ils sont les morts les plus heureux de la planète...
Voilà d'autres photos que g prises moi-mm...
Que l'être humain est C.on parfois.
Mais bon ce que je trouve dommage, c'est que le cimetière est aussi bordé d'une route..
Liens photos:
Le costume traditionnel féminin se caractérise par sa variété d’une région à l’autre.
Conçues dans des formes larges et simples les tuniques sont souvent sans manches, coupées dans des tissus de laine, de coton ou de soie, selon les circonstances.
La broderie est le signe distinctif des différents costumes régionaux.
Fils d’argent, paillettes et cannetilles dorés sont les ornements de presque tous les vêtements féminins : chemises ( Qmajja), gilet (Farmla), robe (Jebba et Kadrûn), foulard (Takrita), Coiffe (Qoufiya), manches (Kmâm), et tunique de mariage (grande Qmajja)
voici elfermla de MaHdia
A MaHdia l’histoire des tissus et d’habits traditionnel a commencé depuis le 18 siècle le tissage de la soie aurait été réintroduit par des familles d’artisans juifs venus de Libye et qui ont habité à MaHdia, et depuis ce temps les familles à MaHdia ont pris ce métier et la femme de MaHdia a toujours utilisé des tissus de soie et de coton sur lesquels elle brode des motifs géométriques représentant des symboles.
Autre technique : le tissage de fils de laine coloré sur du tulle et l’ajout de motifs en paillettes dorées et cannetilles, c’est une collection culturelle faite de soie, de mousseline, de dentelle et de tulle. Une collection de caftans, djebbas, foutas et blousas, pantalons, corsets et gilets.
Depuis le 18 siècle, les mariages à MaHdia ont toujours été caractérisés par ces habits qui montre la beauté mahdoise fi 7enna ou bien fi jelwa.
Aujourd’hui si on se promène à MaHdia et surtout fi bled el3abi Borj-Erras on trouve beaucoup de tisseurs. C’est un métier horizontal, sur lequel l’artisan actionne plus de sept pédales et autant de navettes, à la manière d’un homme-orchestre. Les fils se croisent et se mêlent : multicolores, d’or ou d’argent.
Les rubans et les tissus naissent, ornés de motifs géométriques inchangés depuis la nuit des temps.
II faut compter environ vingt-six passages des navettes pour un centimètre de tissu.
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