Le foot est il vraiment l'opium des peuples?les regimes et les gouvernements qui echouent veulent ils camoufler leur echecs en investissant dans le foot pour detourner l'attention des peuples en leur donnant ce biberon pour les calmer ? le ministre des sports n'est il pas le ministre du foot par excellence? et le comble ne s'arrete pas là ! la vente et l'achat des joueurs comme des étalons et le gens qui s'enrichissent sur leur dos !et dés qu'il a un claquage au genoux il est jetté dans les oubliettes! des debats a la télé pour l'avenir du foot a plus d'importance que l'avenir de la palestine ou de la planète? le soudan Un des peuples les plus pauvres du monde est en guerre pour un morceau de désert sur lequel rien ne pousse. Le Darfour. Tout le monde en a entendu parler, bien sur, via les média qui ont fait leur choux gras des massacres, mais depuis plus rien... Cette guerre inutile, au milieu du match des multi-millionnaires qui courent après un ballon de foot, c'est désespérant. Le foot a fait son lit sur les plates-bandes de la culture , l'éducation , les documentaires les sciences etc....
prenons le cas du brésil où le foot est la religion principale de ce peuple ! regardez un peu les chiffres :
SELON deux rapports rendus publics au Brésil, 8 millions d'enfants, soit 11,6% de la population active, travaillent et au moins 500.000 se prostituent. Sur 147 millions d'habitants, dont 32 millions vivent dans la pauvreté la plus totale, « l'exploitation et la prostitution d'enfants et d'adolescents sont directement liées à la désagrégation familiale et sont le fruit de la misère et de la faim », indique cette étude élaborée par une commission parlementaire d'enquête.
Le Brésil se situe à la première place en matière de prostitution enfantine en Amérique latine et à la deuxième au niveau mondial. Le ministre du Bien-Etre social, M. Jutahy Magalhaes, a déclaré que de nombreuses fillettes de dix à quatorze ans meurent en Amazonie de maladies vénériennes ou « purement et simplement assassinées » par les proxénètes quand elles sont malades. A Rio Branco, la capitale de l'Etat amazonien de l?Acre, plus de 31% des accouchements sont le fait de fillettes de cette tranche d?âge. On estime à 25.000 le nombre de jeunes filles qui se prostituent dans les maisons closes et boîtes de nuit situées aux alentours des 300 « garimpos » (mines d'or à ciel ouvert) de cette région. A Recife, la capitale du Pernambouc (nord-est du Brésil), 1.015 jeunes filles vivent dans la rue, souvent après avoir « perdu leur virginité du fait de parâtres qui s'octroient ce droit », précise le rapport.
les mafiosi de la mode sont allés jusqu'a faire habiller les femmes du pull de léquipe du brésil pour se faire de l'argent ! Socièté de consommation quand tu nous tiens! ben tant qu'il y'a des débiles tant que les opportunistes se feront du blé.
Je hais l'équipe du brésil , et je la hairais pour toujours ! rien que par solidarité aux enfants de la rue ! rien a foutre de ronaldo ou ronaldino and co....
prenons le cas du brésil où le foot est la religion principale de ce peuple ! regardez un peu les chiffres :
SELON deux rapports rendus publics au Brésil, 8 millions d'enfants, soit 11,6% de la population active, travaillent et au moins 500.000 se prostituent. Sur 147 millions d'habitants, dont 32 millions vivent dans la pauvreté la plus totale, « l'exploitation et la prostitution d'enfants et d'adolescents sont directement liées à la désagrégation familiale et sont le fruit de la misère et de la faim », indique cette étude élaborée par une commission parlementaire d'enquête.
Le Brésil se situe à la première place en matière de prostitution enfantine en Amérique latine et à la deuxième au niveau mondial. Le ministre du Bien-Etre social, M. Jutahy Magalhaes, a déclaré que de nombreuses fillettes de dix à quatorze ans meurent en Amazonie de maladies vénériennes ou « purement et simplement assassinées » par les proxénètes quand elles sont malades. A Rio Branco, la capitale de l'Etat amazonien de l?Acre, plus de 31% des accouchements sont le fait de fillettes de cette tranche d?âge. On estime à 25.000 le nombre de jeunes filles qui se prostituent dans les maisons closes et boîtes de nuit situées aux alentours des 300 « garimpos » (mines d'or à ciel ouvert) de cette région. A Recife, la capitale du Pernambouc (nord-est du Brésil), 1.015 jeunes filles vivent dans la rue, souvent après avoir « perdu leur virginité du fait de parâtres qui s'octroient ce droit », précise le rapport.
les mafiosi de la mode sont allés jusqu'a faire habiller les femmes du pull de léquipe du brésil pour se faire de l'argent ! Socièté de consommation quand tu nous tiens! ben tant qu'il y'a des débiles tant que les opportunistes se feront du blé.
Je hais l'équipe du brésil , et je la hairais pour toujours ! rien que par solidarité aux enfants de la rue ! rien a foutre de ronaldo ou ronaldino and co....
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