Que pensez vur sur le GPL ici a sydney le plein d`essences devienS pour voiture normal a 60dollars ,le prix du litre d`essence est maintenant a 1d500 le litre et ce n`est pas la fin d`apres les ecos il vas etre d`ici quelques mois a 3dollars le litre, la voiture ca va etre une choses de lux moi qui viens d`acheter une voiture neuve il y a 8 mois je commence a m`inquiter, ou faire comme certain maintenant la convertion au GPL qui un peut moin cher mais le probleme l`instalation est devenu cher aussi de 800d a 2000 d aust et je ne sais pas en combien de temp le prix d`instalation seras ammortis ,et il y a une liste d`attente de 2 mois por l`installer, wallah je ne sais pas c`est grands gourmant les riches de ces pays de l`opec n`ont pas assez remplis leurs poches ou ils pensent que leurs puits de petrol va bientot epuiser, alors que pensez vous de ca es que ce probleme la vous touche aussi ou pas ,mais la voiture est vraiment indispensable comme tout autre choses ont ne pas sans passer ou bouger sans elle c`est la catastrophe wallah.
Annonce
Collapse
No announcement yet.
Essence Ou Gpl ???
Collapse
X
-
quand tu vois les Usa tout le monde a des voitures essence boite automatique airconditionné : gaspillage de l'nrj+pollution de l'environnement...
et c un peu la mm chose dans plein de pays riches, peu portés sur l'écologie et l'économie d'energie (exception des scandinaves je crois)
Alors qu'en réalité, les transports en commun sont plus fiables, moins cher et plus pratiques pour se déplacer en villes que les voitures. non?
prix du pétrole est tributaire de la situation internationale.
De là, tu peux te remémorer les 2crises : les chocs pétroliers.
les conflits en proche et moyen orient enrichissent les pays de l'opep. ceci explique peut etre cela.
politique internationale+terrorisme+opep+environnement+kyoto +israel/palestine+armement+irak+syrie= $$$Propper Education Always Causes Elevation
-
Crise Petroliere
Oui il n`y a pas qu`au usa mais ici aussi en australie ou tu trouves une famille de six personnes tu treouves aumoins quatres voitures,le transport pubilc est tres bien mais le seul inconveniant au heures de pointes ou pendants les greves c`est la catastrophe,mais la voiture est aussi indispensable car comme moi je me trouve a 4km du station de train le bus est devant la porte mais tous les 1/2 heure si tu le rate alors une autre demi heure mais si je prends ma voiture pour aller travailler ca me prend 1h30 tu vois la difference crise du pétrole L’introuvable fond du baril de brut
La spéculation et la chute de l’investissement dans l’exploitation et le raffinage font grimper les cours.
Après avoir atteint des pics au-delà des 75 dollars le baril de brut sur le Nymex de New York et l’International Petroleum Exchange de Londres, les deux plus grands marchés pétroliers mondiaux, les courtiers ont pris hier leurs bénéfices. Ainsi les cours du Brent de la mer du Nord ouvraient à Londres en net repli.
Selon tous les experts, il ne s’agit là que d’une simple pause. Les prix devraient demeurer encore très élevés durant quelques mois avant de se replier en 2005. En attendant, la guerre en Irak, l’affaire Ioukos, les tensions au Nigeria et en Norvège une OPEP fragilisée et au maximum de ses capacités, les suites des cyclones et l’arrivée prochaine de l’hiver, ne peuvent qu’amplifier les causes plus structurelles de la hausse des cours.
En premier lieu, il faut souligner qu’il n’existe aucun risque de pénurie physique durable. Selon les chiffres plus fiables, ceux de l’Agence internationale de l’énergie, au rythme actuel, les réserves prouvées assureraient quarante ans de consommation au rythme actuel. En fait on peut distinguer - hors les conflits - trois grandes sources de renchérissement du brut. Renchérissement au demeurant tout relatif par rapport à la crise des années 1974-1978 où les prix avaient été multipliés par quatre.
La première cause est la montée en puissance de la Chine dans la demande mondiale, du fait d’une croissance en surchauffe. Pékin se place désormais devant le Japon et derrière les États-Unis pour la consommation mondiale de brut, et plus largement de produits pétroliers. Aucun des deux géants n’est réputé pour l’intensité de sa politique énergétique, c’est-à-dire de produire plus avec moins d’énergie, la Chine pour des causes technologiques et de réseaux, les États-Unis pour préserver l’automobile au coeur de « l’american way of life ». Personne n’a oublié le sommet de Rio où George Bush père s’était exclamé : « le mode de vie des Américains n’est pas négociable ».
La seconde cause est le sous-investissement des « majors » tant anglo-saxonnes qu’européennes dans les
industries du raffinage. L’OFCE souligne ainsi dans son dernier bulletin :« les goulets d’étranglement sont apparus en Europe et aux États-Unis, où les taux d’utilisation du capital (TUC) sont restés extrêmement élevés ». Traduction : le sous-investissement dans les industries du raffinage entraîne aujourd’hui une pénurie des produits pétroliers. En amont, les marges d’extraction de brut étant à leur plafond, les marchés surréagissent et les prix flambent.
La troisième cause du renchérissement relatif des prix est la spéculation. Sur les places de Londres et de New York, les échanges de « pétrole papier » représentent sept fois plus qu’il ne s’échange de brut physique sur le marché mondial. La part des transactions purement financières, sur les marchés de contrats à terme et des produits dérivés « serait passée de 15 % en 2002 à un tiers avec le développement des "hedge funds" (fonds spéculatifs) » démontre une étude l’AIE. Cette spéculation fait supporter au baril de pétrole une prime supplémentaire de 5 à 10 dollars.
Si les marchés ne manifestent aucun signe de panique devant cette « exubérance irrationnelle » des prix pétroliers, ils prennent cependant leurs marques. Ainsi la tendance ces derniers jours est au repli sur les emprunts d’État au point que les rendements obligataires enregistrent des niveaux très bas.
Manifestement, au-delà des déclarations de principe sur la croissance, Alan Greenspan, président de la Réserve fédérale américaine, et Jean-Claude Trichet, son homologue à la BCE, sont inquiets. La croissance pourrait ralentir aux États-Unis et surtout en Europe où elle est corsetée par une politique monétaire et du crédit destructeur d’emplois qualifiés. Surtout l’inflation financière pourrait repartir - si jamais elle avait un jour disparu - et peser sur les rendements boursiers.
Les deux banquiers centraux ont donc tenté de rassurer les marchés. Lundi, Alan Greenpsan estimait ainsi que : « la flambée récente, bien que sensible, devrait avoir moins d’impact sur la croissance économique et l’inflation que dans les années soixante-dix ». Mais il nuançait le propos : « À l’évidence, il pourrait y avoir des conséquences plus sérieuses si les cours du pétrole devaient se diriger vers des niveaux sensiblement plus élevés. »
Pour la BCE, le discours reste toujours le même : en cas de dérapage sur les prix, il faudra peser sur les salaires. Pas question de dissuader les capitaux mondiaux d’affluer sur la zone euro au moment où le marché américain, confronté au double déficit budgétaire (400 milliards) de dollars et de la balance des paiements (455) pose des questions d’arbitrages aux grands investisseurs.
Le revers de cette politique est de favoriser la montée des prix alors même qu’aucune pénurie physique n’est en vue. Les conséquences pour les consommateurs les plus modestes en sont un prélèvement supplémentaire au titre de la TIPP, et une pression accrue sur leurs salaires au titre de la lutte contre l’inflation
il faut aller a la convertion de gpl c`est le seul moyen en attendons le deluge
Comment
widgetinstance 176 (Discussions similaires) skipped due to lack of content & hide_module_if_empty option.
Ads sous Menu
Collapse
Tendances
Collapse
There are no results that meet this criteria.
Ads Footer discussions
Collapse
Comment