Dans mon pays, les violettes sont bleues, le ciel est gris
Les personnages sont dignes d’un film noir et blanc
Tout est calme, tout est serein
Chaque chose se répète comme le énième passage du train
Dans mon pays, le temps passe
Refuse de s’arrêter et passe
Ne s’arrête pas pour éterniser un instant
Ne se compte pas en bons et mauvais moments
Les gens portent les mêmes vêtements
Au fonds, ils ne sont pas si différents
Ils guettent une notion nommée bonheur
C’est quoi le bonheur dirait-on
J’y met dessus un grand point d’interrogation
Dans ce pays, mes pensées sont calculées
Mes calcules sont justes, mes gestes sont étudiés
Tout est prévu à l’avance
Tout est fournis en suffisance
Quand on se plaint, c’est pour des futilités
Qui n’engagent à rien
Manifestation d’une différence absurdité
On vous regarde de travers et on hoche la tête
On est sur que de la liste, vous serez bientôt rayé
Dans le pays, quand tu es différent, tu es banni
Dans un monde d’ennui, tu as un coin assis
Quand tu t’exprimes, on te montre du doigt
« Encore un autre OVNI »
Tu fais pas comme tout le monde
Alors, tu es bientôt maudit
Non pas par le ciel, mais par les affranchis
Peut être qu’on se moque de toi,
Peut être même qu’on rit
Qu’on t’attribue tous les complexes aussi
Mais tes violettes sont bleues
Au dessus de toi ton ciel l’es aussi ; il n’est plus gris.
Les personnages sont dignes d’un film noir et blanc
Tout est calme, tout est serein
Chaque chose se répète comme le énième passage du train
Dans mon pays, le temps passe
Refuse de s’arrêter et passe
Ne s’arrête pas pour éterniser un instant
Ne se compte pas en bons et mauvais moments
Les gens portent les mêmes vêtements
Au fonds, ils ne sont pas si différents
Ils guettent une notion nommée bonheur
C’est quoi le bonheur dirait-on
J’y met dessus un grand point d’interrogation
Dans ce pays, mes pensées sont calculées
Mes calcules sont justes, mes gestes sont étudiés
Tout est prévu à l’avance
Tout est fournis en suffisance
Quand on se plaint, c’est pour des futilités
Qui n’engagent à rien
Manifestation d’une différence absurdité
On vous regarde de travers et on hoche la tête
On est sur que de la liste, vous serez bientôt rayé
Dans le pays, quand tu es différent, tu es banni
Dans un monde d’ennui, tu as un coin assis
Quand tu t’exprimes, on te montre du doigt
« Encore un autre OVNI »
Tu fais pas comme tout le monde
Alors, tu es bientôt maudit
Non pas par le ciel, mais par les affranchis
Peut être qu’on se moque de toi,
Peut être même qu’on rit
Qu’on t’attribue tous les complexes aussi
Mais tes violettes sont bleues
Au dessus de toi ton ciel l’es aussi ; il n’est plus gris.
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