LE REGARD.
Rine ne vaut un regard.
La communication humaine passe par le regard, doublée par les gestes , la parole et la prosodie de la voix. C'est le paradoxe du regard humain, on a besoin du regard de l'autre pour faire connaissance avec soi-même.
C'est en regardant les émotions sur le visage de l'autre qu'on prend peu à peu conscience de ce qu'on est nous-mêmes. Contrairement aux animaux, qui s'évitent du regard, on a transformé notre regard en un organe de relation commune.
Quand on tombe amoureux par exemple, ce regard amoureux est à la fois donne et prend, une intéraction, le désir de capter l'autre et en même temps la capacité de s'offrir à l'autre. Le partage du regard manifeste le fait que nous ne sommes pas clos dans notre individualité et nous sommes toujours tiraillés entre l'idéologie de l'individu clos sur lui-même et notre part d'humanité qui nous rend tellement dépendants du regard de l'autre, c'est ce qui fait à la fois notre charme et notre souffrance.
L'être humain n'a de cesse d'être construit, habité par le regard de l'autre qui, paradoxalement, nous donne notre sentiment d'éxistence. On n'est soi-même que parcequ'on a été regardé et parcequ'on a béneficié du regard d'un autre sinon on ne sait pas qui on est.
Et même la société ,disons technique, technologique et virtuelle dans laquelle nous sommes, qui offre à l'individu les moyens de l'illusion de sa clôture existentielle (internet mp3 ipod dvd....), ne peut remplacer cet instant merveilleux et magique ou on a l'autre en face de soi-même, et ou ce premier regard sur l'autre va nous impréssionner, va créer en nous une impréssion, ce mélange de regard, de prosodie,de geste, de paroles, qui font de la communication humaine.
Rien ne vaut un regard.
Rine ne vaut un regard.
La communication humaine passe par le regard, doublée par les gestes , la parole et la prosodie de la voix. C'est le paradoxe du regard humain, on a besoin du regard de l'autre pour faire connaissance avec soi-même.
C'est en regardant les émotions sur le visage de l'autre qu'on prend peu à peu conscience de ce qu'on est nous-mêmes. Contrairement aux animaux, qui s'évitent du regard, on a transformé notre regard en un organe de relation commune.
Quand on tombe amoureux par exemple, ce regard amoureux est à la fois donne et prend, une intéraction, le désir de capter l'autre et en même temps la capacité de s'offrir à l'autre. Le partage du regard manifeste le fait que nous ne sommes pas clos dans notre individualité et nous sommes toujours tiraillés entre l'idéologie de l'individu clos sur lui-même et notre part d'humanité qui nous rend tellement dépendants du regard de l'autre, c'est ce qui fait à la fois notre charme et notre souffrance.
L'être humain n'a de cesse d'être construit, habité par le regard de l'autre qui, paradoxalement, nous donne notre sentiment d'éxistence. On n'est soi-même que parcequ'on a été regardé et parcequ'on a béneficié du regard d'un autre sinon on ne sait pas qui on est.
Et même la société ,disons technique, technologique et virtuelle dans laquelle nous sommes, qui offre à l'individu les moyens de l'illusion de sa clôture existentielle (internet mp3 ipod dvd....), ne peut remplacer cet instant merveilleux et magique ou on a l'autre en face de soi-même, et ou ce premier regard sur l'autre va nous impréssionner, va créer en nous une impréssion, ce mélange de regard, de prosodie,de geste, de paroles, qui font de la communication humaine.
Rien ne vaut un regard.
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