c'est un travail que j'ai fait quand j'étais au lycée en France.
Personne ne peut nier que les conditions de vie de l’homme ont évolué autrement dit nous ne vivons pas comme le faisaient nos ancêtres et ceci en partie, est grâce à l’intelligence de l’homme, et en une autre partie à cause de sa bêtise. L’homme a eu donc plusieurs moyens de faire et d’agir face à une nature de plus en plus fragile et à ses frères devenus de plus en plus féroces et agressifs. Ce processus continue depuis bien longtemps et a commencé avec les fils d’Adam ou peut être même par ce dernier et notre mère Eve. Mais la question qui se pose aujourd’hui est de savoir si ce qu’on appelle l’histoire est produite par l’homme ou bien un fardeau qui pèse sur lui et qu’il est obligé de subir. La réponse à cette énigme est loin de l’évidence. Pour tenter d’y répondre, nous essayerons de définir l’histoire et nous verrons ensuite la place qu’occupe l’homme face à celle-ci.
Chaque individu parmi nous humains a une « histoire » c'est-à-dire une certaine expérience requise grâce à ses faits mais aussi aux situations dans lesquelles cet individu s’est retrouvé un de ses jours. Notre histoire est donc l’ensemble de nos faits et situations face au reste du monde. C’est notre manière de voir le monde, percevoir des données, les analyser et ensuite donner l’ordre pour agir et répondre à notre extérieur auquel nous sommes hélas parfois soumis. Cet extérieur nous met dans des situations diverses des fois inconfortables, il nous harcèle quelques fois avec ses questions auxquelles nous avons obligation de trouver des réponses cohérentes et adéquates avec les données de cet extérieur afin d’éviter tout incohérence ou paradoxe. Notre diversité est résultat du fait que nous n’agissons pas de la même manière face à une même situation car heureusement nous n’avons pas les mêmes modes de réflexion, d’analyse et d’action. Il y a aussi un autre facteur qui est à l’origine de nos histoires différentes, il s’agit de nos sentiments qui influent sans aucun doute sur nos décisions.
Les décisions prises par l’homme et les actes qu’il peut commettre dans leur quasi-totalité le touchent directement, mais ils peuvent toucher aussi bien un groupe de personnes : les décisions d’un parent touchent toute sa famille, celle d’un professeur ses élèves, … celles d’un président tout son peuple ou même d’autre peuple et cela dépend du pays et de l’homme…
Historiquement parlant, un événement est le résultat de plusieurs conditions réunies qui ont favorisé le déroulement de cet événement. La question donc devient d’évaluer l’importance de l’homme comme condition potentielle seule ou parmi d’autres. Certes l’homme « historique » est responsable de ses actes, autrement dit, la responsabilité d’un dirigeant qui aurait déclaré explicitement une guerre ne peut en aucun cas être niée.
L’histoire de l’homme est un monde vaste, très vaste qui a commencé avec les premières « lettres » que nos ancêtres ont écrites. C’est donc grâce aux contemporains de chaque époque que nous, « hommes modernes », avons des informations sur cette période de l’histoire. Dans toutes ces époques et périodes plus ou moins connues par l’homme de nos jours, il y a une catégorie d’humains que nous connaissons le plus, ce sont les dirigeants. Ces empereurs, rois, princes, raïs, ou autres de la même caste, ont déclaré des guerres, envahis leurs voisins, « purifie » leurs pays, colonisé des peuples, bombardé des villes, construit des murs, torturé des prisonniers… ils ont aussi signés des paix, sauvé l’humanité, développé l’amitié, cessé l’humilité, crée la fraternité, assurer la liberté, promis l’égalité… c’est tout ce que nous disons de ces hommes et ce n’est pas vrai dans son intégralité. Ces hommes évoqués précédemment ont eu la « chance » de gouverner leurs peuples, ces peuples qui ont travaillé jour et nuit pour améliorer le niveau de leur vie, fait du pain pour manger à leur faim, organisé des révoltes pour avoir de meilleurs « récoltes », rejoint les armées pour sauver leurs contrées… ces peuples ne savaient pas que leur souverain protégé, bien habillé, des fois maquillé et même poudré allait voler leur prospérité. Il devient aux yeux des historiens le responsable de tout le mal et de tout le bien. Ce n’est vraiment pas bien pour ses citoyens.
la suite tout de suite
Personne ne peut nier que les conditions de vie de l’homme ont évolué autrement dit nous ne vivons pas comme le faisaient nos ancêtres et ceci en partie, est grâce à l’intelligence de l’homme, et en une autre partie à cause de sa bêtise. L’homme a eu donc plusieurs moyens de faire et d’agir face à une nature de plus en plus fragile et à ses frères devenus de plus en plus féroces et agressifs. Ce processus continue depuis bien longtemps et a commencé avec les fils d’Adam ou peut être même par ce dernier et notre mère Eve. Mais la question qui se pose aujourd’hui est de savoir si ce qu’on appelle l’histoire est produite par l’homme ou bien un fardeau qui pèse sur lui et qu’il est obligé de subir. La réponse à cette énigme est loin de l’évidence. Pour tenter d’y répondre, nous essayerons de définir l’histoire et nous verrons ensuite la place qu’occupe l’homme face à celle-ci.
Chaque individu parmi nous humains a une « histoire » c'est-à-dire une certaine expérience requise grâce à ses faits mais aussi aux situations dans lesquelles cet individu s’est retrouvé un de ses jours. Notre histoire est donc l’ensemble de nos faits et situations face au reste du monde. C’est notre manière de voir le monde, percevoir des données, les analyser et ensuite donner l’ordre pour agir et répondre à notre extérieur auquel nous sommes hélas parfois soumis. Cet extérieur nous met dans des situations diverses des fois inconfortables, il nous harcèle quelques fois avec ses questions auxquelles nous avons obligation de trouver des réponses cohérentes et adéquates avec les données de cet extérieur afin d’éviter tout incohérence ou paradoxe. Notre diversité est résultat du fait que nous n’agissons pas de la même manière face à une même situation car heureusement nous n’avons pas les mêmes modes de réflexion, d’analyse et d’action. Il y a aussi un autre facteur qui est à l’origine de nos histoires différentes, il s’agit de nos sentiments qui influent sans aucun doute sur nos décisions.
Les décisions prises par l’homme et les actes qu’il peut commettre dans leur quasi-totalité le touchent directement, mais ils peuvent toucher aussi bien un groupe de personnes : les décisions d’un parent touchent toute sa famille, celle d’un professeur ses élèves, … celles d’un président tout son peuple ou même d’autre peuple et cela dépend du pays et de l’homme…
Historiquement parlant, un événement est le résultat de plusieurs conditions réunies qui ont favorisé le déroulement de cet événement. La question donc devient d’évaluer l’importance de l’homme comme condition potentielle seule ou parmi d’autres. Certes l’homme « historique » est responsable de ses actes, autrement dit, la responsabilité d’un dirigeant qui aurait déclaré explicitement une guerre ne peut en aucun cas être niée.
L’histoire de l’homme est un monde vaste, très vaste qui a commencé avec les premières « lettres » que nos ancêtres ont écrites. C’est donc grâce aux contemporains de chaque époque que nous, « hommes modernes », avons des informations sur cette période de l’histoire. Dans toutes ces époques et périodes plus ou moins connues par l’homme de nos jours, il y a une catégorie d’humains que nous connaissons le plus, ce sont les dirigeants. Ces empereurs, rois, princes, raïs, ou autres de la même caste, ont déclaré des guerres, envahis leurs voisins, « purifie » leurs pays, colonisé des peuples, bombardé des villes, construit des murs, torturé des prisonniers… ils ont aussi signés des paix, sauvé l’humanité, développé l’amitié, cessé l’humilité, crée la fraternité, assurer la liberté, promis l’égalité… c’est tout ce que nous disons de ces hommes et ce n’est pas vrai dans son intégralité. Ces hommes évoqués précédemment ont eu la « chance » de gouverner leurs peuples, ces peuples qui ont travaillé jour et nuit pour améliorer le niveau de leur vie, fait du pain pour manger à leur faim, organisé des révoltes pour avoir de meilleurs « récoltes », rejoint les armées pour sauver leurs contrées… ces peuples ne savaient pas que leur souverain protégé, bien habillé, des fois maquillé et même poudré allait voler leur prospérité. Il devient aux yeux des historiens le responsable de tout le mal et de tout le bien. Ce n’est vraiment pas bien pour ses citoyens.
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