La 41ème session du Festival international de Carthage qui se tiendra du 9 juillet au 15 août 2005 est placée cette année sous le signe de l'innovation et de la diversification" comme l’a souligné M. Raouf Ben Amor, directeur artistique de cette session lors d'une conférence de presse
organisée la semaine dernière à l'espace Ennejma Ezzahra de Sidi Bousaid.
Carthage 2005 sera marquée par le retour à la vocation première du festival à travers le recours à toutes les formes d'art et aux différentes générations d'artistes tunisiens, arabes et étrangers.
Plusieurs espaces situés dans la banlieue nord de Tunis seront mis à profit. Il s'agit du Palais Essaada à la Marsa, Ennajma Ezzahra à Sidi Bou Said, l'esplanade du musée de Carthage, le Palais El Abdellia et l'accropolium de Carthage.
Les soirées tunisiennes représentent 58 % de la programmation de Carthage 2005 contre 17 % pour les soirées arabes et 16% pour les soirées étrangères.
D’après nos sources le budget de cette session a doublé par rapport a la cession précédente pour atteindre 1 500 000 DT avec un nombre de spectacle qui a triplé (plus de 100 spectacles).
Les spectacles les plus coûteux sont les spectacles tunisiens (spectacle d’ouverture et de clôture du festival) 120 000 DT pour chaque spectacle. Vient ensuite l opérette Carmen, le plus cher des spectacles étrangers coûtant 75 000 DT.
Le coût des spectacles arabes varient entre 15 000 et 25 000 DT, exepté le spectacle de Latifa
Arfaoui qui a le plus gros cachet s’élevant à 40 000 DT, suivie de Samira Said 25 000 DT. Le contrat avec les chaînes satellitaire « Rotana » a été révisé de manière à retenir 6 soirées seulement, à raison de deux artistes par soirée, chacun d'un pays arabe différent.
Selon ce contrat, ces artistes ne sont pas payés par le festival de Carthage.
Parmi les artistes d Rotana figurent Marcel Khalifa, Iheb Taoufik, Nabil Chail, Ridha El Abdallah, Rami Ayeche, Asala Nasri, Angham, Foulla, Samira Said Et Baha Soltane.
Le 7ème art sera marqué par l’absence de films tunisiens, côte cinéma arabe, le dernier film audacieux de Adel Imam , ‘’Assafara Fil Imara ‘’ sera présenté, à côté des films inédits dont « Le royaume du ciel » (Kingdom of heaven) de Ridley scott, « L'Aviateur » de Martin Scorsese « La fille a un million de Dollars » de Clint Eastwood « Ray Charles » de Taylor Hackford et « l'Enfant » des frères Dardenne, Palme d'or-cannes 2005.

Carthage 2005 sera marquée par le retour à la vocation première du festival à travers le recours à toutes les formes d'art et aux différentes générations d'artistes tunisiens, arabes et étrangers.
Plusieurs espaces situés dans la banlieue nord de Tunis seront mis à profit. Il s'agit du Palais Essaada à la Marsa, Ennajma Ezzahra à Sidi Bou Said, l'esplanade du musée de Carthage, le Palais El Abdellia et l'accropolium de Carthage.
Les soirées tunisiennes représentent 58 % de la programmation de Carthage 2005 contre 17 % pour les soirées arabes et 16% pour les soirées étrangères.
D’après nos sources le budget de cette session a doublé par rapport a la cession précédente pour atteindre 1 500 000 DT avec un nombre de spectacle qui a triplé (plus de 100 spectacles).
Les spectacles les plus coûteux sont les spectacles tunisiens (spectacle d’ouverture et de clôture du festival) 120 000 DT pour chaque spectacle. Vient ensuite l opérette Carmen, le plus cher des spectacles étrangers coûtant 75 000 DT.
Le coût des spectacles arabes varient entre 15 000 et 25 000 DT, exepté le spectacle de Latifa

Selon ce contrat, ces artistes ne sont pas payés par le festival de Carthage.
Parmi les artistes d Rotana figurent Marcel Khalifa, Iheb Taoufik, Nabil Chail, Ridha El Abdallah, Rami Ayeche, Asala Nasri, Angham, Foulla, Samira Said Et Baha Soltane.
Le 7ème art sera marqué par l’absence de films tunisiens, côte cinéma arabe, le dernier film audacieux de Adel Imam , ‘’Assafara Fil Imara ‘’ sera présenté, à côté des films inédits dont « Le royaume du ciel » (Kingdom of heaven) de Ridley scott, « L'Aviateur » de Martin Scorsese « La fille a un million de Dollars » de Clint Eastwood « Ray Charles » de Taylor Hackford et « l'Enfant » des frères Dardenne, Palme d'or-cannes 2005.
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