J’ai croisé par hasard un être que j’ai perdu de vue depuis quelques années. Les retrouvailles, je les ai imaginées violentes, choquantes, elles étaient plutôt clémentes, rassurantes.
Mon être, mon intérieur. Il s’est recroquevillé et s’est enfoui au fin fond des recoins de mon âme, de mon esprit, de mon corps.
Mon intérieur s’est enfui en me laissant libre de tout. J’avançais dans ma vie comme un enfant qui découvre pour la première fois son environnement.
Je vivais un instant de non existence, de nonchalance, une vie où j’étais épargné de taxes sur bêtises ou d’impôts sur bonheur, je vivais dans un No Man’s Land.
Quand j’ai fleureté son âme, une larme a jailli, silencieuse, chaude, brillante…amère. Elle sillonnait les traits de mon visage pour finir en saut de l’ange, écrasée par terre.
Un courant de fortes émotions envahissait mon esprit, me transperçant les poumons, frôlait mon cœur et caressait mon âme tel une brise d’un matin de mois de novembre.
Je respire, je transpire…..je suis revenu.
Mon intérieur m’a lancé alors :
Et je lui ai répondu :
Mon être, mon intérieur. Il s’est recroquevillé et s’est enfoui au fin fond des recoins de mon âme, de mon esprit, de mon corps.
Mon intérieur s’est enfui en me laissant libre de tout. J’avançais dans ma vie comme un enfant qui découvre pour la première fois son environnement.
Je vivais un instant de non existence, de nonchalance, une vie où j’étais épargné de taxes sur bêtises ou d’impôts sur bonheur, je vivais dans un No Man’s Land.
Quand j’ai fleureté son âme, une larme a jailli, silencieuse, chaude, brillante…amère. Elle sillonnait les traits de mon visage pour finir en saut de l’ange, écrasée par terre.
Un courant de fortes émotions envahissait mon esprit, me transperçant les poumons, frôlait mon cœur et caressait mon âme tel une brise d’un matin de mois de novembre.
Je respire, je transpire…..je suis revenu.
Mon intérieur m’a lancé alors :
- Tu m’as manqué…
Et je lui ai répondu :
- Serre-moi fort contre toi. Ne me quitte plus jamais.
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