Tout est dans le titre!!!
Mais Bon sang !!!
-Est ce que vous ne comprenez pas ??
-La Cigarette est en train de vous tuer à feu doux , et vous continuer ?
-Est ce par ce que la douleur n'est pas douloureuse ???
-Mais quand Est ce que vous allez vous reveillez ?
-Savez vous que Non seulement vous vous tuez mais vous mettez les autres en danger !!!!
REVEILLEZ VOUS et LISEZ !!!!
Effets à court terme
Malgré la lenteur de l’action du tabac, nombreux sont les symptômes mineurs qui apparaissent au bout de quelques années de tabagisme régulier, dont les plus fréquents sont les suivants :
*fatigue prématurée,
*risque d’angine plus élevé,
*augmentation des rhumes,
*toux et expectorations,
*perte d’appétit,
*troubles du rythme cardiaque,
*jaunissement des doigts et des dents,
*mauvaise haleine,
*vieillissement de la peau (rides plus profondes)
*irritation des yeux
Effets à long terme : les maladies associées au tabagisme
Les preuves scientifiques se sont accumulées au cours des 40 dernières années en ce qui concerne l’influence de la fumée de tabac sur la santé du fumeur et celle de son entourage. Les maladies les plus nettement liées au tabagisme sont le cancer du poumon, la bronchite, l’emphysème et les pathologies cardio-vasculaires. D’autres formes de cancer (lèvre, bouche, larynx, pharynx, ½sophage et vessie) et l’ulcère gastro-duodénal complètent ce tableau.
Les risques dépendent de quatre facteurs :
*la consommation quotidienne de cigarettes : plus la dose quotidienne est importante, plus le risque est important ;
*la durée de la consommation : plus tôt on commence à fumer, plus longue est la période pendant laquelle un sujet risque de contracter une maladie ; la durée du tabagisme ayant plus d’importance que la quantité fumée.
*la façon de fumer et la forme du produit tabagique consommé : les façons de fumer qui prolongent l’exposition de l’organisme à la fumée (inhalation profonde et fréquente, garder la cigarette entre les lèvres entre chaque bouffée, etc.) augmentent le risque. Ainsi, la cigarette expose à un risque beaucoup plus élevé de cancer du larynx et du poumon, tandis que le cigare et la pipe exposent à un risque plus important de cancer des lèvres et de la bouche ;
*le type de cigarettes fumées : le risque est plus élevé pour les cigarettes sans filtre et pour celles ayant une forte teneur en goudrons.
Les effets sur le système respiratoire
Le cancer du poumon
Dès 1950 il a été démontré que le fait de fumer constituait un facteur causal important dans l’apparition du cancer du poumon. D’après les éléments de leur enquête, la consommation de tabac est responsable à 90% des cancers du poumon. Il n’y a pas si longtemps, cette maladie touchait surtout la population masculine. Mais, au cours des dernières décennies, le cancer du poumon touche de plus en plus de femmes dans la mesure où celles-ci ont également pris l’habitude de fumer.
le tabagisme passif augmente, lui aussi, le risque de cancer.
Les habitudes alimentaires jouent également un rôle important dans la mortalité due au cancer. Une consommation accrue de certains aliments ou stimulants (viande, alcool, café) est positivement associée au risque de cancer. Les fruits et les légumes auraient un effet protecteur. Certaines vitamines exerceraient un effet inhibiteur sur le cancer du poumon. Par contre, le cadmium et l’arsenic, que l’on retrouve dans la fumée de tabac, les favorisent.
D’autres facteurs environnementaux comportent également un risque accru : le radon, l’amiante, le chrome, le nickel et les hydrocarbures aromatiques polycycliques. On retrouve ces substances, non seulement dans la fumée de cigarette, mais aussi dans la fumée de haschich, du barbecue et dans toutes les autres fumées de combustion d’une substance organique (y compris les dérivés du pétrole).
Le cancer du pharynx et du larynx
Les cancers du pharynx sont moins fréquents que les cancers du larynx. Le traitement est le plus souvent chirurgical. Dans certains cas, il nécessite l’ablation complète du larynx. Si la totalité de celui-ci doit être enlevé, une trachéotomie est mise en place au niveau du cou. La parole naturelle n’est plus possible et l'individu doit apprendre à parler avec l’air de son ½sophage.
L’asthme
La fumée de tabac joue un rôle aggravant dans les pathologies asthmatiques, en particulier chez les enfants. Les enfants de parents fumeurs ont des crises d’asthme plus fréquentes, de plus grande gravité et nécessitent plus souvent une hospitalisation.
Les effets sur le système nerveux
Le tabac favorise l’apparition de ma de tête, de troubles de la mémoire, de nervosité, de tremblements. Il modifie, de façon variable, l’état de vigilance, l’augmentant ou le diminuant selon les circonstances. La nicotine agit par l’intermédiaire de récepteurs nicotiniques sur certaines cellules cérébrales et est ainsi responsable de la dépendance physique au tabac
Les effets sur le système urinaire
Le cancer de la vessie
1/3 des cancers de la vessie sont liés au tabac en relation avec le nombre de cigarettes fumées. Les substances toxiques du tabac, véhiculées par le sang et éliminées par les reins, sont contenues dans la vessie. Les toxiques cancérogènes y stagnent pendant plusieurs heures entre deux émissions d’urines.
Les effets sur le système reproducteur
Chez l’homme
Chez l’homme, le tabac entraîne une diminution du nombre de spermatozoïdes. Ceux-ci sont plus souvent anormaux, peu mobiles et donc moins fécondants. Il existe un lien statistique entre l’impuissance d’origine vasculaire et le tabagisme (80% des hommes impuissants sont fumeurs).
Chez la femme
Le tabagisme est associé à une augmentation de risque de cancer du col de l’utérus qui est trois fois plus fréquent chez la femme fumeuse. Le tabac joue également plusieurs rôles néfastes sur le déroulement de la grossesse.
D’abord, la cigarette réduit la fécondité des femmes désirant avoir un enfant. Les effets du tabac se manifestent sur la viabilité de l’ovocyte, la motilité tubaire, mais aussi sur la division embryonnaire, la formation du blastocyste, la croissance de l’embryon et sur son implantation. Le risque d’attendre une année entière pour être enceinte quand elles l’ont décidé est 3,4 fois plus élevé que chez les non-fumeuses.
Le rôle du tabac dans l’étiologie de la grossesse extra-utérine a également été établi. On peut dire qu’en moyenne le risque relatif est multiplié par 1,5 pour moins de 10 cigarettes, par 3 pour plus de 20 cigarettes, par 5 pour plus de 30 cigarettes par jour. L’arrêt du tabac pendant le mois qui précède la conception permettrait de diminuer significativement ce risque.
Lorsque la future mère fume, le taux d’avortements spontanés est multiplié par trois, environ. L’association tabac et fausse couche est dépendante du nombre de cigarettes fumées par jour. Fumer au cours de la grossesse multiplie, également, par 2 à 3 le risque de présenter un placenta praevia.
Les résultats de la procréation médicalement assistée révèlent une réduction significative du taux de conception chez les fumeuses.
Le risque d’avortement spontané était lié au tabagisme passif , même simplement d’une heure par jour. L’association est plus forte durant les grossesses où le père est fumeur, reflétant une exposition plus importante à domicile que sur le lieu de travail.
On a d'autre part remarqué que les fumeuses sont ménopausées deux ans avant les autres
le reste est ici !!!
Mais Bon sang !!!
-Est ce que vous ne comprenez pas ??
-La Cigarette est en train de vous tuer à feu doux , et vous continuer ?
-Est ce par ce que la douleur n'est pas douloureuse ???
-Mais quand Est ce que vous allez vous reveillez ?
-Savez vous que Non seulement vous vous tuez mais vous mettez les autres en danger !!!!
REVEILLEZ VOUS et LISEZ !!!!
Effets à court terme
Malgré la lenteur de l’action du tabac, nombreux sont les symptômes mineurs qui apparaissent au bout de quelques années de tabagisme régulier, dont les plus fréquents sont les suivants :
*fatigue prématurée,
*risque d’angine plus élevé,
*augmentation des rhumes,
*toux et expectorations,
*perte d’appétit,
*troubles du rythme cardiaque,
*jaunissement des doigts et des dents,
*mauvaise haleine,
*vieillissement de la peau (rides plus profondes)
*irritation des yeux
Effets à long terme : les maladies associées au tabagisme
Les preuves scientifiques se sont accumulées au cours des 40 dernières années en ce qui concerne l’influence de la fumée de tabac sur la santé du fumeur et celle de son entourage. Les maladies les plus nettement liées au tabagisme sont le cancer du poumon, la bronchite, l’emphysème et les pathologies cardio-vasculaires. D’autres formes de cancer (lèvre, bouche, larynx, pharynx, ½sophage et vessie) et l’ulcère gastro-duodénal complètent ce tableau.
Les risques dépendent de quatre facteurs :
*la consommation quotidienne de cigarettes : plus la dose quotidienne est importante, plus le risque est important ;
*la durée de la consommation : plus tôt on commence à fumer, plus longue est la période pendant laquelle un sujet risque de contracter une maladie ; la durée du tabagisme ayant plus d’importance que la quantité fumée.
*la façon de fumer et la forme du produit tabagique consommé : les façons de fumer qui prolongent l’exposition de l’organisme à la fumée (inhalation profonde et fréquente, garder la cigarette entre les lèvres entre chaque bouffée, etc.) augmentent le risque. Ainsi, la cigarette expose à un risque beaucoup plus élevé de cancer du larynx et du poumon, tandis que le cigare et la pipe exposent à un risque plus important de cancer des lèvres et de la bouche ;
*le type de cigarettes fumées : le risque est plus élevé pour les cigarettes sans filtre et pour celles ayant une forte teneur en goudrons.
Les effets sur le système respiratoire
Le cancer du poumon
Dès 1950 il a été démontré que le fait de fumer constituait un facteur causal important dans l’apparition du cancer du poumon. D’après les éléments de leur enquête, la consommation de tabac est responsable à 90% des cancers du poumon. Il n’y a pas si longtemps, cette maladie touchait surtout la population masculine. Mais, au cours des dernières décennies, le cancer du poumon touche de plus en plus de femmes dans la mesure où celles-ci ont également pris l’habitude de fumer.
le tabagisme passif augmente, lui aussi, le risque de cancer.
Les habitudes alimentaires jouent également un rôle important dans la mortalité due au cancer. Une consommation accrue de certains aliments ou stimulants (viande, alcool, café) est positivement associée au risque de cancer. Les fruits et les légumes auraient un effet protecteur. Certaines vitamines exerceraient un effet inhibiteur sur le cancer du poumon. Par contre, le cadmium et l’arsenic, que l’on retrouve dans la fumée de tabac, les favorisent.
D’autres facteurs environnementaux comportent également un risque accru : le radon, l’amiante, le chrome, le nickel et les hydrocarbures aromatiques polycycliques. On retrouve ces substances, non seulement dans la fumée de cigarette, mais aussi dans la fumée de haschich, du barbecue et dans toutes les autres fumées de combustion d’une substance organique (y compris les dérivés du pétrole).
Le cancer du pharynx et du larynx
Les cancers du pharynx sont moins fréquents que les cancers du larynx. Le traitement est le plus souvent chirurgical. Dans certains cas, il nécessite l’ablation complète du larynx. Si la totalité de celui-ci doit être enlevé, une trachéotomie est mise en place au niveau du cou. La parole naturelle n’est plus possible et l'individu doit apprendre à parler avec l’air de son ½sophage.
L’asthme
La fumée de tabac joue un rôle aggravant dans les pathologies asthmatiques, en particulier chez les enfants. Les enfants de parents fumeurs ont des crises d’asthme plus fréquentes, de plus grande gravité et nécessitent plus souvent une hospitalisation.
Les effets sur le système nerveux
Le tabac favorise l’apparition de ma de tête, de troubles de la mémoire, de nervosité, de tremblements. Il modifie, de façon variable, l’état de vigilance, l’augmentant ou le diminuant selon les circonstances. La nicotine agit par l’intermédiaire de récepteurs nicotiniques sur certaines cellules cérébrales et est ainsi responsable de la dépendance physique au tabac
Les effets sur le système urinaire
Le cancer de la vessie
1/3 des cancers de la vessie sont liés au tabac en relation avec le nombre de cigarettes fumées. Les substances toxiques du tabac, véhiculées par le sang et éliminées par les reins, sont contenues dans la vessie. Les toxiques cancérogènes y stagnent pendant plusieurs heures entre deux émissions d’urines.
Les effets sur le système reproducteur
Chez l’homme
Chez l’homme, le tabac entraîne une diminution du nombre de spermatozoïdes. Ceux-ci sont plus souvent anormaux, peu mobiles et donc moins fécondants. Il existe un lien statistique entre l’impuissance d’origine vasculaire et le tabagisme (80% des hommes impuissants sont fumeurs).
Chez la femme
Le tabagisme est associé à une augmentation de risque de cancer du col de l’utérus qui est trois fois plus fréquent chez la femme fumeuse. Le tabac joue également plusieurs rôles néfastes sur le déroulement de la grossesse.
D’abord, la cigarette réduit la fécondité des femmes désirant avoir un enfant. Les effets du tabac se manifestent sur la viabilité de l’ovocyte, la motilité tubaire, mais aussi sur la division embryonnaire, la formation du blastocyste, la croissance de l’embryon et sur son implantation. Le risque d’attendre une année entière pour être enceinte quand elles l’ont décidé est 3,4 fois plus élevé que chez les non-fumeuses.
Le rôle du tabac dans l’étiologie de la grossesse extra-utérine a également été établi. On peut dire qu’en moyenne le risque relatif est multiplié par 1,5 pour moins de 10 cigarettes, par 3 pour plus de 20 cigarettes, par 5 pour plus de 30 cigarettes par jour. L’arrêt du tabac pendant le mois qui précède la conception permettrait de diminuer significativement ce risque.
Lorsque la future mère fume, le taux d’avortements spontanés est multiplié par trois, environ. L’association tabac et fausse couche est dépendante du nombre de cigarettes fumées par jour. Fumer au cours de la grossesse multiplie, également, par 2 à 3 le risque de présenter un placenta praevia.
Les résultats de la procréation médicalement assistée révèlent une réduction significative du taux de conception chez les fumeuses.
Le risque d’avortement spontané était lié au tabagisme passif , même simplement d’une heure par jour. L’association est plus forte durant les grossesses où le père est fumeur, reflétant une exposition plus importante à domicile que sur le lieu de travail.
On a d'autre part remarqué que les fumeuses sont ménopausées deux ans avant les autres
le reste est ici !!!
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