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l'enfant autiste

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    l'enfant autiste

    en regardant la télé j'été attiré par un débat qui se déroulait sur l'enfant autiste : en arabe c un peu bizarre "ettaouahhod"

    je ne savait pas aupravant ce terme ou encore cette maladie,

    il s'agit enfaite des enfants qui réfusent tout contact avec l'autre, dépourvu d'affection, il ont leurs propres univers, leurs propre langage, cad au lieu de parler ils crient ou encore ils déforment leurs voix pour exprimer un besoin qq , a fin qu'il yait un feed-back avec un autiste il faut pouvoir déchifrer ses codes

    l'enfant autiste se distingue d'un autre enfant normale dès 1an à 3ans par des signes bien déterminés, il ne regarde pas sa mère , jusau'à 3 ans il n'articule aucun mot, il refuse de jouer avec les autres enfants, il a un caractère bizarre apr rapport aux autres bébés


    "L'autisme est considéré comme un trouble envahissant du développement qui entraîne de graves perturbations de la communication verbale et non verbale, de l’autonomie et de la socialisation.

    Il est autiste si …

    Son comportement social est profondément perturbé

    Ses possibilités de communication sont réduites

    Ses intérêts sont restreints et répétitifs
    Tous ces signes apparaissent à des degrés forts variables et touchent 1 fille pour 3 garçons.
    Une bonne connaissance de toutes ces données est nécessaire pour optimaliser les possibilités de ces enfants.

    Un enseignement qui tient compte des particularités de l’autisme va permettre à deux mondes différents de se rencontrer, de mettre à jour des compétences tout en respectant la personnalité profonde de l’autiste.

    Evidement, l’évolution est souvent lente mais ce type d’handicap est mieux cerné qu’il n’y a même 10 ans et on peut espérer que la recherche ( médicale ou psychologique) ouvre de nombreuses portes ... "

    d'après les témoignages des mères des enfants autiste elles affirment que leurs enfants sont très intélligents mais hélàs ils n'ont pas les moyens d'extérioriser leurs compétences

    les docteurs précisent qu'un autiste à ses besoins sexue comme tout autre personne mais il ne peus jamais fonder une famille ou vivre une vie de couple, il peut avoir sa vie sexuelle mais jamais une vie normale avec une femme et des enfants car il ne peut jamais accepter l'autre ou avoir une relation avec l'autre.


    c qui m'a encore paru bizarre c que l'autisme touchent en particulier les garçons , une minorité de filles sont autistes



    vous avez une idée sur ce sujet, est-ce qu'il ya des autistes en tunisie?? sûrement il ya des autistes mais peut être elles sont classé sous maladie psychique!!!!!!

    allez si vous avez avez une idée merci de mieux nous informer

    #2
    G suivi ce programme aussi sur Future et j'etais impressionne par le grand travail qu'effectue cette association libanaise.

    En Tunisie, il y a beaucoup de cas des enfants autistes et c vraiment un cauchemar pour leur parents
    J'espere qu'il y a des associations qui prennent en charge ce handicap

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      #3
      pour ceux qui ont vu le film Mercury Rising (Code Mercury pour la VF) l'enfant jouait le rôle d'un autiste et dans le film l'assistant donne l'explication à Bruce Willis de la signification de sa maladie.

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        #4
        La personne autiste, de part son comportement parfois curieux ( balancement, écholalie, gestes désordonnés…) engendre souvent l’incompréhension.




        La recherche scientifique nous montre que l’autisme trouve son origine dans un développement anormal du cerveau pendant sa phase de maturation. Les causes profondes de ce trouble du développement restent à déterminer. En parallèle des études menées sur le cerveau, les investigations génétiques se poursuivent. Les théories rétrogrades et simplistes mettant en accusation les parents et en particulier la mère de l’enfant sont aujourd’hui rejetées.




        L’autisme présente de nombreux visages. De la déficience profonde, parfois doublée d’un sur-handicap physique à l’autiste souffrant du syndrome d’Asperger ( personne possédant une capacité à parler couramment et une intelligence moyenne ou supérieure à la moyenne) , on a pris l’habitude de dire qu’il y a autant d’autisme que d’autistes.




        L'avènement des stratégies de recherche génétique a changé le regard sur le handicap lié à l'autisme. Les progrès réalisés en imagerie fonctionnelle et en génétique ont conduit à proposer, en dehors du cadre traditionnel se référant à Kanner, un phénotype élargi intégrant la variété sémiologique du syndrome. L'étude approfondie des syndromes apparentés est actuellement devenue un outil pour décrypter la signification précise d'un symptôme dans un contexte neuro-fonctionnel précis.

        l autisme en tunisie existe mais y a pas de chiffres officiels c est une pathologie assez svt associee a l etude de l epilepsie mais c est une pathologie tres grave surtt si elle est entoure par un tabou social ce qui malheureusement le cas en tunisie et ds pusieurs autres pays d ailleurs ou on ne comprensd pas l autiste et c set la ou s aggrave la maldie car il leur faut une prise en charge speciale

        le week end dernier c etaient les journees de l autisme en france pour sensibliser plus de monde et essayer de depister plus de maladies

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          #5


          Autisme : mieux connaître le syndrome d'Asperger

          Le syndrome d'Asperger est une forme d'autisme qui concerne des enfants d'intelligence normale. Il fait l'objet de l'attention croissante des chercheurs et des éducateurs.« Je n'aime pas les étrangers, parce que je n'aime pas les gens que je n'ai jamais vus. J'ai du mal à les comprendre (...). Quand il y a un nouveau membre du personnel à l'école (...) je l'observe jusqu'à ce que je sois sûr qu'il n'est pas dangereux. Puis (...)je lui demande ce qu'il sait des missions spatiales Apollo, je lui fais dessiner le plan de sa maison, et comme ça, je le connais. Alors ça m'est égal d'être dans la même pièce que lui (1). » Christopher, 15 ans, protagoniste d'un roman de Mark Haddon, est atteint du syndrome d'Asperger.

          Décrit par Hans Asperger en 1944, ce syndrome est une forme d'autisme, touchant des sujets d'intelligence normale. La description de l'autisme avait été donnée un an plus tôt par Leo Kanner mais le travail d'Asperger, lui, est resté ignoré jusqu'en 1983.Depuis 1980, le syndrome d'Asperger est, avec l'autisme, classé parmi les « troubles envahissants du développement » (TED) dans les classifications des troubles psychiques, à savoir le DSM-IV américain et le CIM 10 de l'Organisation mondiale de la santé. La recherche s'emploie aujourd'hui à recenser les différences entre les cerveaux d'autistes et les autres, sur les plans anatomique, biochimique, génétique. Grâce à l'imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf), on peut observer le cerveau au travail - et l'on constate que les zones cérébrales activées, lors de tâches de reconnaissance des visages ou des voix par exemple, ne sont pas les mêmes chez les autistes que chez les sujets normaux. Il semble donc probable que des différences dans le traitement de l'information par le cerveau des autistes expliquent les anomalies de leur comportement.

          Un comportement différentBébé, déjà, l'enfant ne recherche pas le regard de sa mère ; il ne cherche pas à diriger son attention vers un objet qui l'intéresse (ce qu'on appelle l'« attention conjointe »). L'enfant atteint du syndrome d'Asperger apprend à parler. Cependant, comme tous les autistes, il est fermé au langage non verbal : il ne comprend pas l'expression des émotions chez les autres, il rit à contretemps... Dans le domaine verbal, son utilisation du langage est anormale : il emploie de grands mots sortis d'un dictionnaire, il ne sait pas quand ni comment s'introduire dans une conversation - et peut s'attirer ainsi des moqueries.Plus largement, le comportement social pose problème. L'enfant « Asperger » n'apprend pas d'instinct, ni par imitation, les règles du jeu social ; il n'arrive pas à voir les situations du point de vue de l'autre (2). Il dit « vous avez un gros nez », et ne comprend pas pourquoi l'autre est blessé ; il parle pendant des heures d'un sujet qui le passionne, comme les horaires des trains, sans voir que les autres ne s'y intéressent pas.

          Autres traits caractéristiques de ces sujets : un attachement à leurs habitudes, et à des règles qu'ils se donnent ; une hypersensibilité au bruit, au toucher ; et un profil d'intelligence en dents de scie, avec des pics de compétence - l'intelligence visio-spatiale, la mémoire, le calcul mental... - et des déficiences, dans la compréhension du langage, dans les problèmes complexes. Nombreux aussi sont ceux qui pensent en images plutôt qu'en mots.Ces enfants sont donc différents. Mais si ces différences posent des problèmes à leur entourage, elles ne sont pas toutes négatives, loin de là. Ils sont, par exemple, incapables de mentir et ils se montrent soucieux des règles ; leur mémoire, leur bonne vision des détails, leurs « pics de compétences » parfois spectaculaires, leur pensée en images constituent une « autre intelligence », dont notre société pourrait s'enrichir, selon certains auteurs, si elle savait s'adapter à eux, tout en leur offrant les moyens de s'adapter à elle (3).

          Ces moyens existent : aider à identifier l'expression des émotions, apprentissage de « scénarios sociaux » qui expliquent les comportements normaux en classe, en récréation, au restaurant, etc. (4). Dans certaines écoles, l'intervention de spécialistes de l'autisme pour apprendre aux enseignants à recourir plus largement au mode visuel, pour expliquer aux élèves ce que ressent leur camarade... permet une intégration des enfants atteints d'un syndrome d'Asperger. Ces écoles sont encore rares - mais le « plan autisme », annoncé en novembre dernier, prévoit la création, d'ici 2006, de centres de ressources autisme (CRA) dans toutes les régions françaises. Par ailleurs, une association de jeunes autistes a créé son propre site Internet (www.satedi.org).L'intelligence des enfants « Asperger » leur permet donc d'utiliser de l'aide pour progresser ou s'entraider. On citera par exemple le témoignage de cette autiste américaine Temple Grandin qui, devenue adulte, a raconté son expérience (5). Grâce à un de ses professeurs, dont elle dit : « Il n'a pas essayé de m'attirer vers son monde mais il est entré, au contraire, dans le mien », elle est devenue experte internationale en équipements pour animaux d'élevage. « J'ai appris, dit-elle, - par coeur - comment il fallait se comporter dans des circonstances données. » Par exemple, elle a appris à parler en public en regardant des cassettes vidéo.Les 13 et 14 mai 2005, un colloque sur le syndrome d'Asperger, sous la direction de Tony Attwood (6) et Peter Vermeulen, offrira une occasion de s'informer sur ce syndrome.NOTES1[1] M. Haddon, Le Bizarre Incident du chien pendant la nuit, Pocket, 2004.2[2] Uta Frith fait de cette déficience en « théorie de l'esprit » une caractéristique majeure de l'autisme. Voir U. Frith, L'Énigme de l'autisme, Odile Jacob, 1992.3[3] L. Mottron, L'Autisme : une autre intelligence, Mardaga, 2004.4[4] Voir Autisme France Diffusion, tél. : 04 93 43 21 84, courriel : [email protected] free.fr5[5] T. Grandin, Penser en images, Odile Jacob, 1997. De la même auteure : Ma vie d'autiste, Odile Jacob, 1994.6[6] T. Attwood, Le Syndrome d'Asperger et l'Autisme de haut niveau, Dunod, 2003.Claudie Bert

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